Tous les disques sont édités par le label " Lodia ". Au sujet des disques " Lodia ", le " Washington Post " écrit le onze octobre 1981 : " Méticuleusement maîtrisés et somptueusement conditionnés, les disques Lodia sont parmi les meilleurs proposés sous quelque étiquette que ce soit. " " Hi Fi Stéréo " écrit en septembre 1982 : " Lodia poursuit sa collection de joyaux qui raviront autant le musicien que le plus maniaque des " hifimanes ". Voici du numérique de choc, bien servi par une prise de son exemplaire. "
All the records belong to the "Lodia" label. The "Washington Post" wrote in October 1981 : "Meticulously manufactured and beautifully packaged, the Lodia records are amongst the best of any label. "Hi Fi Stéreo" wrote in September 1982: "Lodia continues its collection of jewels which will charm the most maniacs of the musicians as well as the music lovers."
Rossini : Ouvertures de " Semiramide ", " Guillaume Tell ", " l'Italienne à Alger ", " la Cenerentola ", " le Barbier de Séville " et de " la Pie Voleuse ". Royal Philharmonic Orchestra. 1CD. ADD. Carlos Païta nous donne de ces ouvertures un fabuleux kaléidoscope sonique, tout y passe ! Tempos de feu et contrastes dynamiques saisissants ! Écoutez les bois ! Coquins, taquins, malins, ils sont tout simplement éblouissants ! Et nulle part ailleurs, ils n'ont chanté ainsi ! Il est bien question ici d'une authentique fête iconclaste ! Laura Padellaro du " Radio Corrière " écrit : " Carlos Païta est un chef de race. Son Rossini est très coloré et élégant. Ce disque plaira également aux fervents de la haute-fidélité."
Rossini : "Semiramide, William Tell, The Italian in Algiers, La Cenerentola, The Barber of Seville The Italian Girl in Algiers, The Thieving Magpie" overtures. The Royal Philharmonic Orchestra. Carlos Paita gives us a fabulous sonic kaleidoscope. Fire tempos and incredibly dynamic contrasts ! Hear the Woods, funny, teasing, naughty, they are quite simply dazzling, and nowhere else did they sing that way, what we have here is a real iconoclast festival. Laura Padellaro from the " Radio Corrière" writes : " Carlos Paita is a racy Conductor, his Rossini is very colored and elegant. This recording shall please the most demanding listeners"
Beethoven : Troisième Symphonie " Héroïque ". Ouverture " Léonore III ".* Scottish National Orchestra. Netherlands Radio Philharmonic Orchestra.* 1 CD. ADD. Un engagement inouï pour cette symphonie qui est le point de départ du " grand " Beethoven et la rupture stylistique définitive avec le divin Mozart. Les attaques sont d’une violence insoutenable. Les vénérables écossais du Scottish National Orchestra ont été secoués comme jamais. Une des plus magnifiques " Héroïques " jamais enregistrée. La " Marche Funèbre " est irrésistible avec ses basses d’outre-tombe... À l'instar de la Symphonie, l'Ouverture est épique.Beethoven: Third symphony "Eroica," "Leonore III" overture. * Scottish National Orchestra. Netherlands Radio Philharmonic Orchestra. An incredible involvement for this symphony. This the first of the Great Beethoven for it shows the final stylistic rupture with Mozart's mold. The attacks are unbearable and the members of the Scottish National Orchestra were shaken like never before. One of the most magnificent Eroica recorded to date. The "Funeral March"is very impressive with its bass coming from outer tomb...Like the Symphony, the overture is of epic proportions
Cinquième Symphonie et Ouverture " Coriolan ".* Philharmonic Symphony Orchestra. London Philharmonic Orchestra*. 1 CD. DDD. Une Cinquième à couper le souffle ! Noble, hautaine parfois, emportée souvent, avec de vibrants appels de cuivres, mais toujours droite comme un " i " ! Un Beethoven furieusement dionysiaque ! L'ouverture " Coriolan " fait assurément plus référence à Shakespeare qu'à Collin !
Fifth Symphony and Coriolan overture. Philharmonic Symphony Orchestra. London Philharmonic Orchestra*. A breathtaking fifth ! sometimes noble sometimes haughty often carried away but always as straight as an "i" ! A furiously ecstatic Beethoven. The Coriolan overture refers rather more to Shakespeare than to Collin.
Septième Symphonie. Philharmonic Symphony Orchestra. 1 CD. DDD. Wagner appelait cette Symphonie " l'Apothéose de la Danse ". Avec Klemperer, c'était des paysans lourdauds qui dansaient. Païta, lui, applique aux trois mouvements rapides la méthode que Furtwängler réservait au Quatrième, il n'est alors plus question de danse, mais de Tragédie. Le second mouvement, mené très lentement, surdétermine cette atmosphère de drame. La sonorité de cet Allegretto est d’une beauté altière à couper le souffle ! Dans " La Nouvelle République du Centre Ouest ", on peut lire : " Cet enregistrement nous montre le brillant Carlos en pleine possession de la matière sonore qui lui offre un orchestre de tout premier plan. Sous sa baguette de feu, ce miracle de la musique où l’art le dispute au génie, la science à l’inspiration, verse à flots les puissants effets de la mélodie, de l’harmonie, de l’instrumentation et du rythme. Une Septième à laquelle Païta, personnalité peu commune, apporte la dynamique de notre temps "
Seventh symphony. Philharmonic Symphony Orchestra. Wagner called this symphony " the Danse Apotheosis". With Klemperer we heard oafish peasants dancing. Païta, on the other hand, applies to the three fast movements the Furtwängler manner which he was using in the fourth. It is no longer a question of dancing but of real tragedy. The second movement, conducted very slowly, brings about the drama atmosphere. The rendering of this Allegretto is so beautiful as to leaves one breathless! In the "La Nouvelle République du Centre Ouest "the reporter wrote: " This recording shows us the brilliant Carlos thoroughly mastering a first class orchestra. A miracle happens Under his fiery baton: we meet the point where art disputes it with genius and science with inspiration. The music floods with the powerful effects of melody, harmony, instrumentation and rhythm. Païta through his conducting of the seventh symphony brings us the dynamics of our time.
Brahms : Première Symphonie. National Philharmonic Orchestra. 1CD. DDD. Une Première bousculée, perturbée, arrachée même aux brumes du Nord de l’Allemagne... Les timbales au début du premier mouvement !! Cette respiration haletante et terrible est celle d’un écorché vif ! Cette Première Symphonie, avec laquelle Brahms entre d’emblée au Panthéon des grands symphonistes, est décortiquée furieusement par Païta. Elle tient non seulement le choc, mais elle en redemande ! Un Brahms nouveau apparaît soudain : passionné, émouvant, révolté même... Peut-on entendre par la suite une autre version ? René Koering, directeur de France Musique pendant les années quatre-vingts, écrit : " De compassée et sage, la première symphonie se transforme en un chef d’œuvre brûlant, de classique et mesurée, elle devient un spectre halluciné, de rigoureuse et habile elle nous découvre le martèle-ment d’une forge inspirée où bat le cœur d’un homme qui au fond de lui-même ne se résigne pas. Cette musique qui restait au fond de notre âme, là voilà qui revit, qui, peu à peu, trouve les gestes de la violence et qui ouvre ses bras aux plus beaux bouleversements de l’amour... "
Dvorak : Symphonies n° 7*, 8 et 9. Philharmonic Symphony Orchestra.* Royal Philharmonic Orchestra. 2 CD. DDD. Païta va très loin de la Bohème et de Brahms pour faire de la Septième une très grande symphonie, dynamique et emportée. La Huitième est inouïe de violence : les cuivres explosent quasiment. Impressionnant et irrésistible... La Symphonie du " Nouveau Monde " est traitée comme une symphonie américaine : Copland n'est pas loin !!! Le second mouvement est d'une tendresse éperdue... Ivan March écrit dans la célèbre revue britannique " The Gramophone " : " Mon plaisir a été, en 1982, d’écrire la critique du disque digital la Septième Symphonie de Dvorak par Païta. Une performance qui vous tient à cœur, ensoleillée, légère et malgré cela une gravité donnant une sonorité animée et chaude dans une acoustique idéale. Jusqu’ici la meilleure version de cet ouvrage. "
Bruckner : Huitième Symphonie. Philharmonic Symphony Orchestra. 1CD. DDD. La monumentale symphonie de Bruckner dégagée des pesanteurs, romantiques, religieuses et idéologiques, livrée telle quelle après une psychanalyse de choc ! Où il apparaît enfin qu'Anton pouvait parler aux hommes autant qu'à Dieu ! L’adagio est d’une beauté plastique et cinétique ahurissante. L'apocalypse sonique du Finale restera dans toutes les mémoires... Richard Freed écrit dans la revue américaine " Stereo Review " : " La lecture que fait Païta de la Huitième Symphonie de Bruckner est pleine de perspicacité et de conviction. Elle est aussi convaincante que celle d’Horenstein, mais plus vigoureuse et impétueuse. Le grand adagio et le scherzo sont animés par un immense élan et un sens extrême de la pulsation qui évite l’essoufflement et exclut la monumentalité narcissique d’autres interprétations. La musique vit et respire irrésistiblement. Pour ce qui me concerne, il s’agit là d’un des enregistrements les plus réussis de toutes les symphonies de Bruckner. Il devrait convaincre et réjouir tous les brucknériens. "
Mahler : Symphonie n° 1 " Titan ". Royal Philharmonic Orchestra. 1CD. ADD. Comme dans Bruckner, Païta libère toute l'énergie contenue dans cette pre-mière symphonie. Elle annonce les orgies sonores et les conflits humains de la monumentale Sixième, mais aussi toute cette noire tendresse, cette fantastique nostalgie dont tout interprète de Mahler doit expressément rendre compte sous peine de contre-sens coupable et dramatique ! Païta va bien au-delà des intentions du compositeur. Comment le Royal Philharmonic a-t-il pu résister à un tel traitement ? " Carlos Païta s’impose ici à un niveau qui le place d’emblée au rang des plus grands. " Qui donc a écrit cela ? Mais Monsieur de la Grange en personne, le spécialiste numéro un de Mahler !
Wagner : Ouvertures du " Vaisseau Fantôme ", de " Rienzi "* et des " Maîtres Chanteurs ". " Prélude et Liebestod ". Philharmonia Orchestra. Netherlands Radio Philharmonic Orchestra.* 1 CD. ADD. Il est difficile, après l'écoute, de renouer des liens normaux avec le monde extérieur. Une mort d’Iseult hallucinante et hallucinée... Extraits du " Crépuscule des Dieux ". La journée de " Siegfried sur le Rhin ", la mort de " Siegfried ", la " Marche Funèbre " et " l'Immolation de Brunnhilde ". Ute Vinzing (soprano). James King (ténor). Philharmonic Symphony Orchestra. 1CD. DDD. Dans ces extraits, Païta provoque des secousses telluriques. On a l'impression que les cuivres sont doublés. Le Maestro les utilise comme une authentique légion, active et féroce, chargée de protéger l'expression dramatique et de magnifier tous les leitmotivs de l'œuvre. Ces extraits sont toujours l'occasion pour les chefs de " lâcher " leur orchestre. Solti, Knapperbusch, Fürtwaengler et Klemperer n'y allaient pas de main morte ! Mais que dire de Païta ? La démesure sonore et dramatique est là : orgiaque et d'une violence inouïe...
Wagner : Extraits du "Crépuscule des Dieux" - Ute Vinzing - James King - The Philharmonic Symphony Orchestra. 1CD. DDD. La Journée de Siegfried sur le Rhin - Marche Funèbre - Immolation de Brünnhlde. Païta au coeur du "Ring" ! Déjà, avec Solti cela déménageait ! Avec Païta, c'est cataclysmique ! Démesuré, grandiose, habité, passionné, passionnant, on sort de l'écoute hébété, transi, abasourdi... A écouter d'urgence, ne serait-ce que pour regretter que Païta n'ait pas enregistré le "Ring" en totalité !
Schubert : Symphonie n° 9, la " Grande ". Royal Philharmonic Orchestra. 1CD. DDD. Païta attaque la Symphonie posthume de Schubert de front, au premier degré. Il y a quelques années à Vienne, Solti avait fait sonner les cuivres comme jamais. Autrefois, Fürtwaengler avec les couleurs noires de ses " Berliner Philharmoniker " avait ému une génération entière de mélomanes. Plus tard, Szell, avec " son " orchestre de Cleveland, démontrera que Schubert était un immense symphoniste. Karajan à Berlin, dans des fastes incroyables, en fera l'égal de Beethoven. Le chef argentin fait la synthèse, à sa manière, de ces interprétations incontournables pour affirmer le drame humain schubertien et révéler que ce symphoniste, assurément le plus mystérieux du XIXe siècle, est bien l'ascendant de Bruckner.
Berlioz : " Symphonie Fantastique ". London Symphony Orchestra. 1CD. ADD. Païta volcanique comme jamais, et un orchestre fou pour la plus ahurissante des versions du chef d'œuvre de Berlioz. La " glace " sublime de Karajan, esthétisée jusqu'à l'absurde, les " sorcelleries soniques " de " Magic Stoky " et l'enthousiasme délirant de Munch deviennent soudain insuffisants ! Le dernier mouvement est une véritable folie ! L'orchestre est fabuleux. Maurice Fleuret, directeur de la Musique au Ministère de la Culture sous l’ère Lang dit: " Un souffle, un instinct de la grande forme qu’on ne trouve que chez les plus grands. "
Verdi : Requiem. Royal Philharmonic Orchestra. London Philharmonic Choir. 2 CD (coffret). ADD. Veasey (mezzo). Bini (ténor). Sottin (basse). Harper (soprano). Le chef argentin fait encore des siennes ! Il n'est pas de version plus engagée dans le dramatisme extraverti. Giulini, Muti et Abbado ramenés et réduits à l'état de chef de chœurs de sacristie ! Violence et Passion ! On sort de l'écoute exsangue, abasourdi et on reste longtemps sous le choc ! Dans le " Dies Irae ", l'orchestre est inouï : du silence à l'orage, ses sonorités sont parfaites et belles à mourir. Il faut absolument écouter ce Requiem transfiguré ! Dans la revue " Harmonie ", aujourd’hui disparue, Harry Halbreicht écrit : " Païta se révèle ici non seulement grand chef d’orchestre, mais chef de chœurs d’une qualité exceptionnelle. "
Mussorgsky - Borodine - Glinka : National Philharmonic Orchestra.* 1 CD. DDD. Philharmonic Symphony Orchestra. " Les Tableaux d'une exposition ".* " Dans les steppes de l'Asie Centrale ". " Ouverture de Russlan et Ludmilla ". Dans ce programme russe, Païta nous livre une version grandiose des " Tableaux ". Trop peut-être, en effet, on oublie vite Ravel, mais on se souvient alors du Grand Stokowski, péremptoire et hollywoodien ! Pourquoi pas ? Les pièces de Borodine et Glinka sont les travaux pratiques de l'Art selon Païta. Dans " Russlan et Ludmilla ", Païta se situe dans la lignée de Mravinsky pour la rythmique interne, mais pour le son et la théâtralité, il est du côté du " magicien " de Philadelphie.
Tchaïkovsky : Sixième Symphonie, " Pathétique ". National Philharmonic Orchestra. 1CD. DDD. Qui a prétendu que le maître russe était fragile ? Démesure et virilité sont au rendez-vous pour le plus extraodinaire troisième mouvement jamais entendu. Même Mravinsky... Même Svetlanov... L’adagio final est d’une nostalgie insoutenable... Il faut sans doute remonter à Stokowski... Dans " Télérama " Paul Meunier écrit : " Le tempérament volcanique de Païta, sa science des coloris instrumentaux nous valent, en effet, une " Pathétique " qui mérite bien son nom. Haletante et habitée. Bouleversante. " " Roméo et Juliette ". Quatrième Symphonie. " Capriccio italien ". Moscow New Russian Orchestra. 1CD. DDD.
La sublime Quatrième est menée d’une main de fer. Jadis, Kondrachine en fit autant, et ce fut terrible... Stokowski se permit un des délires les plus extravagants de toute l’histoire de la musique enregistrée, et qui fascina longtemps Bernstein... Avec Païta, les écarts de dynamique sont prodigieux et fracassants ! Il est bien question d’un rendez-vous avec l’enfer ! Le dernier mouvement " allegro con fueco " justifie comme jamais son appellation. Le maestro est démoniaque. Le " Capriccio " est étourdissant de brio et de virtuosité. Jamais, peut-être, Païta n'a été aussi proche de Stokowski... " Hamlet " est restitué dans toute sa splendeur sonore, son drame et sa violence... C’est inouï !! La " Marche Slave " est d’une puissance explosive et insoutenable. L’orchestre russe chauffé à blanc ne lésine ni sur la dynamique, ni sur les basses. Ces deux compacts, entièrement consacrés à Tchaïkovsky, sont à mettre aux côtés de ceux réalisés par Stokowski, Mravinsky et Svetlanov. La personnalité et l'engagement émotionnel de ces quatre marginaux, fous et génies, à la fois, de la direction d'orchestre sont tels, qu'il est dorénavant question d'autre chose que de musique...
" Roméo et Juliette ". " Capriccio italien ". " Hamlet ". " Marche Slave ". Russian Philharmonic Orchestra. 1 CD. DDD. Païta en Russie ! Et pour enregistrer Pyotr Ilyich ! La rencontre est brûlante et passionnante. Dans " Roméo ", le mélange du feu et de la tendresse est à mourir ! Nous sommes au cœur d'un drame intemporel, et avec des cuivres russes ! Ces cuivres au son si typiquement acidulé, secs comme des coups de trique. Les trompettes !! Tout est hyperdramatisé et irrésistible. La dynamique est explosive et les ruptures de rythme sont des fractures effroyables dans le tissu sonique. L’amour, la mort et l’indicible désespoir sont signifiés comme jamais... Naguère, on surprenait un Stokowski à la fois nostalgique et pessimiste, un Mravinsky, tour à tour brutal et cynique et un Svetlanov, grandiose et écrasant. Aujourd’hui, le temps de Païta est arrivé qui nous vaut une version à jamais incontournable...
Tous ces enregistrements sont, d’un point de vue sonique, prodigieux. Les prises de son multi-micros, même si elles datent d’époques différentes, sont parfaitement maîtrisées. L’acoustique des divers lieux d’enregistrements a toujours été dominée. Si le " Kingsway Hall " de Londres a longtemps été privilégié, on ne peut pas dire que les prises de son réalisées aujourd’hui ailleurs, et principalement dans des salles russes, se distinguent fondamentalement des autres. Les deux ingénieurs du son qui ont successivement travaillé avec Païta, Arthur Lilley et Claude Achallé, l’ont fait dans la même optique : la grandeur du son, sa totale expressivité, notamment dans la dynamique, la mise en évidence surdimensionnée des divers pupitres et enfin, la fidélité à ses intentions esthétiques. Jamais, peut-être, dans l’histoire de la musique enregistrée, n’a existé une aussi parfaite adéquation entre la technique et un interprète.